Observation des mouvements fonctionnels (Test FMS). Ce que c’est, et ce que ce n’est pas.

Le FMS (Functional movement screen : observation des mouvements fonctionnels) divise beaucoup dans le monde de la remise en forme.

Il y a d'un coté ceux qui ne jurent que par lui, refusant même d'aller plus loin si l'élève ne passe pas par cette étape, la considérant comme l'alpha et l'omega d'une bonne évaluation.

Il y a de l'autre ceux qui pensent que c'est une perte de temps et qu'il n'apporte rien. Ils placent leur élève directement sous charge sans trop se préoccuper de la qualité des mouvements.

Comme souvent, avec des sujets qui divisent, il est bon de se recentrer un peu.

Voyons donc un peu plus ce qu'est le FMS, mais également ce qu'il n'est pas et pourquoi je réalise presque toujours une observation FMS,

Pourquoi l'observation FMS ?

Lors d'une première session avec un nouvel élève, je réalise toujours un test FMS, que ce soit en présentiel ou en ligne.

Cette observation des mouvements fonctionnels (FMS = functional movement screen) me permet en effet d'observer  différents modèles de mouvements réalisés par mon élève et voir s'ils sont suffisamment fonctionnels. Logique, n'est-ce pas ?

Mais que signifie fonctionnel ? C'est bien là le problème, car ce mot est utilisé à toutes les sauces dans le monde de la remise en forme et a souvent perdu son sens originel.

Voyons donc ça en détail, avec le slogan même du FMS : Move well. move often

Bien bouger.

Pour bien comprendre le sens de cette première partie du slogan, représentons-nous la pyramide de la performance du FMS.

Tout en haut, la compétence (skill)

Quel que soit notre objectif, il se traduira toujours sous la forme d'une compétence.

Pour quelqu'un qui pratique une activité athlétique, il peut s'agir de mieux courir, mieux nager, mieux lancer des objets, mieux dribbler, etc.

Même ceux qui ont des activités très spécifiques, comme la force athlétique, visent une compétence (oui, la force est une compétence).

Pour un père de famille, cela peut être simplement une partie de foot sur la plage avec ses enfants.

Dans tous les cas, il s'agit vraiment de pratiquer une compétence, une qualité très spécifique à notre objectif.

Dans le cadre d'un entrainement, c'est donc du spécifique : de la pratique technique et de la mise en application.

A ce niveau de la pyramide, l'entrainement d'un karateka ne ressemble pas du tout à celui d'un footbaleur.

Au milieu, la performance

Pour être bien développées, ces compétences doivent se baser sur un certain niveau de performance.

Selon les objectifs de chacun, cela signifie avoir un certain niveau de force, d'endurance, de puissance... Il s'agit des qualités physiques fondamentales, dont le développement a un impact sur beaucoup d'autres qualités.

Pour la plupart d'entre nous, ce sont des qualités qui peuvent être développées avec un entrainement général. On parle d'ailleurs de préparation physique générale.

Pour l'essentiel, cet entrainement peut être très similaire entre deux personnes dont l'objectif est pourtant différent. En effet, devenir plus fort, plus endurant et plus puissant sera utile à presque tout le monde, et tant qu'on n'a pas atteint un haut niveau, l'entraînement peut être quasiment le même.

Les différences d'entraînement sont plus souvent liées à des contraintes ou des préférences de l'élève qu'à son objectif de compétence.

La plupart des "coachs fitness" oeuvrent dans cette zone de la pyramide.

C'est aussi la zone où j'interviens le plus avec mes élèves. Mais pas que, comme nous allons le voir ci-dessous.

La base : le mouvement

Pour développer force, mobilité, endurance, puissance et toute autre qualité que mon élève a besoin pour atteindre ses objectifs, il faut écrire un programme et l'appliquer.

Comme indiqué ci-dessus, ce programme va surtout dépendre de ses préférences et de ses contraintes.

Quand on parle de contraintes, on pense d'abord (et moi aussi) au temps disponible, au matériel, aux obligations familiales et professionnelles, aux transports...

Il y a toutefois des contraintes qui sont intrinsèques à chaque élève. A-t-il déjà eu des blessures ? Est-il apte à pratiquer tous les exercices du programme ? A-t-il des contre-indications médicales ?

Ces contraintes sont à voir avec le médecin, qui donnera sa clairance avec ou sans limitations.

Mais au-delà, il y a aussi la qualité des mouvements, et surtout leur fonctionnalité, que je définis ainsi : un mouvement est fonctionnel lorsqu'il remplit ses fonctions physiologiques.

Fonctionnel ne veut pas dire optimal ou parfait. Cela signifie simplement que le mouvement peut être réalisé correctement et remplir ses fonctions normales.

De nombreuses évaluations existent pour déterminer cette fonctionnalité.

J'applique le FMS car il aide à identifier rapidement et facilement les contre-indications majeures à la pratique de certains mouvements dans le cadre de l'entrainement. Il permet de mettre en avant ce qui doit être corrigé, car dysfonctionnel, avant de penser à la performance.

La règle générale est de ne pas développer de la force sur une dysfonction, car cela ne fera que renforcer cette dysfonction.

C'est tout le sens de la première partie du slogan : Bien bouger. Notez le point. Il est là, car on le lit ainsi : bien bouger - point. C'est non négociable.

Bouger beaucoup

Le FMS est là pour identifier des dysfonctions et les corriger.

Cela implique deux choses. Corriger et continuer d'avancer.

Beaucoup de critiques du FMS insistent en disant qu'il ne permet pas de poser un diagnostic. C'est tout à fait vrai ! Le FMS est une observation (screen en anglais), rien de plus.

L'objectif n'est pas de trouver la cause racine du problème. Trouver la cause est nécessaire si on franchit certaines lignes, notamment la présence de douleur. Ce n'est cependant plus le rôle du coach, mais d'un professionnel du domaine de la santé. D'ailleurs, lorsqu'un élève indique avoir de la douleur lors d'une observation, je le réfère et n'essaie pas de corriger moi-même.

Dans la plupart des cas, connaitre la cause n'est pas nécessaire. L'expérience a permis d'identifier les exercices correctifs les plus efficaces pour corriger le problème, sans avoir besoin d'un diagnostic précis.

L'important est de ne pas rester bloqué aux correctifs.

Une fois qu'une nouvelle observation montre que le mouvement est fonctionnel, on avance, on charge.

C'est l'idée derrière la deuxième partie du slogan. On commence par bien bouger. Ensuite, on bouge beaucoup et souvent. C'est aussi pour cela qu'il n'y a pas de point : il n'y a pas de limite à la quantité de mouvement.

Procédure standardisée

La raison principale pour laquelle j'utilise le FMS plutôt qu'une autre approche est que c'est systématisé.

Les différentes observations sont parfaitement décrites, standardisées.

La variation de résultats entre deux testeurs bien formés est très faible. La variation intra-testeur (entre deux tests fait par le même testeur) est aussi très faible. Cela rend les résultats du FMS utilisables, partageables et consistants.

En plus de cela, la mise en place des exercices correctifs est aussi systématisée. Un spécialiste FMS sait ce qu'il doit prioriser à la fin du test, dans quel ordre mettre en place les correctifs, et comment les adapter au cours du temps et des progrès (ou absence de progrès) de l'élève.

En quoi consiste l'observation FMS ?

L'observation des mouvements fonctionnels est décrit ainsi par ses créateurs :

"Le FMS est un outil de dépistage utilisé pour identifier les limitations ou les asymétries dans sept modèles de mouvements fondamentaux (qui sont la clé de la qualité du mouvement fonctionnel),chez les personnes sans douleur actuelle ou blessure musculo-squelettique connue.

Ces modèles de mouvement sont conçus pour fournir des performances observables du modèle locomoteur de base en manipulant et en stabilisant les mouvements, en plaçant un individu dans des positions extrêmes où des faiblesses et des déséquilibres deviennent perceptibles si la mobilité et le contrôle moteur appropriés ne sont pas utilisés."

Cela peut paraître compliqué, mais c'est en réalité beaucoup plus simple qu'il n'y parait.

Le FMS permet, à travers l'observation de 7 modèles de mouvements, de repérer des lacunes ou des asymétries. Nous ne souhaitons pas charger une dysfonction. L'observation permet de s'assurer de la capacité d'un individu à pratiquer des exercices.

7 observations standardisées

Le FMS consiste à observer 7 modèles de mouvement : le squat profond, le passage de haie, la fente en ligne, la mobilité d'épaule, le relevé actif de jambe, la stabilité du tronc lors des pompes, et la stabilité rotative (deep squat, hurdle step, inline lunge, shoulder mobility, active straight-leg raise, trunk stability push up, rotary stability).

Chaque modèle est observé et noté : un score de 3 signifie que le mouvement peut être réalisé correctement sans compensation, 2 qu'il peut être réalisé avec des compensations, 1 qu'il ne peut pas être réalisé et 0 indique une douleur lors du mouvement.

0 indique le besoin de référer. On a dépassé la ligne du domaine d'action du coach.

1 indique une dysfonction : il faut mettre en place des correctifs avant de développer la performance.

2 est satisfaisant et autorise le travail de performance sur ce modèle de mouvement.

3 est optimal, mais contrairement à ce qu'on peut penser a priori, pas nécessaire pour la plupart des élèves.

Parfois, certains présentent le résultat du FMS en additionnant tous les scores. C'est une pratique que je n'aime pas. Le score global donne peu d'indications. La puissance du FMS vient dans la procédure standardisée d'évaluation  de chaque observation et la priorisation des correctifs éventuels.

3 modèles fonctionnels (mouvements globaux)

Pour des raisons pratiques, on commence en général le FMS avec 3 modèles globaux : le squat profond, la fente en ligne et le passage de haie.

De manière générale, si un élève obtient un score optimal à ces trois modèles mouvements, il est probable qu'il n'ait pas de dysfonctions apparentes dans les autres modèles.

Toutefois, si des limitations apparaissent, il est nécessaire de continuer avec les 4 test suivants, plus localisés.

4 modèles de mouvements fondamentaux

Deux modèles sont orientés mobilité. La réalité est un peu plus complexe, car il ne s'agit pas que de mobilité, mais nous allons simplifier pour cet article.

Et pour simplifier encore plus, on observe juste la qualité de mouvement et la mobilité au niveau des hanches et des épaules. Ils agit de la mobilité d'épaule et du relevé de jambes actif. Ce sont les modèles qu'on cherchera à corriger en priorité.

Nous noterons qu'a été rajoutée la mobilité de cheville ces dernières années, ce qui fait que nous avons 8 observations au lieu de 7...

Deux modèles sont orientés contrôle moteur : la pompe et la stabilité rotationnelle.

Mobilité, contrôle moteur, fonctionnalité

Ce qui est important, dans le cadre du FMS, c'est qu'on ne cherche pas à tout corriger tout de suite, et à tout avoir au niveau optimal !

Comme je l'ai déjà écrit, c'est un système et c'est standardisé.

On cherche à corriger d'abord la mobilité, puis le contrôle moteur, et enfin le modèle fonctionnel.

Souvent, on peut avoir un squat profond qui est dysfonctionnel. Mais en travaillant sur la mobilité de chevilles (prioritaire dans la chaine des corrections), on observe que le squat est devenu satisfaisant.

Un spécialiste FMS compétent saura trouver les correctifs les plus importants : ni trop, ni trop peu, juste ce qu'il faut pour progresser sans passer tout son entrainement uniquement sur du correctif.

Forces et limites du test FMS

Le FMS présente quelques points forts. Le système est standardisé, ce qui implique :

  • tests facilement reproductibles dans le temps et entre testeurs
  • progression clairement identifiable et quantifiable
  • système correctif standardisé (tout en restant flexible)
  • large bibliothèque de correctif (tant que les principes sont respectés, la méthode peut varier)

Il y a toutefois quelques limitations.

C'est une observation, pas un outil de diagnostic.

La plupart des critique du FMS manquent ce point. C'est dans le nom : OBSERVATION des mouvements fonctionnels. Je ne suis pas docteur en médecine. Je ne prétend pas en être un. Je peux identifier un modèle de mouvement déficient. Je ne prétend pas pouvoir en identifier la cause. Si vous ressentez de la douleur pendant un mouvement lors de l'observation, c'est ma responsabilité de ne pas charger le modèle de mouvement fautif. Et c'est votre responsabilité de rechercher un avis médical pour établir un diagnostic.

Ceci étant clairement écrit, la plupart des élèves tirent bénéfice de cette simple observation.

Un modèle de mouvement imparfait peut souvent être corrigé avec des correctifs et un entrainement adaptés, sans avoir besoin d'identifier la cause sous-jacente, à condition, bien sur, qu'il n'y ait pas de douleur.

La cause de premier niveau peut être tout simplement un manque de souplesse, une perte de coordination neuromusculaire, un peu de tension dans les muscles...

La cause racine est souvent dans le mode de vie de l'élève (régime alimentaire, sédentarité, trop de mauvais mouvements dans certain sports...). Cela n'a pas réellement d'importance tant que la correction se fait.

C'est pourquoi j'utilise le FMS. Je m'assure que l'élève peut bouger correctement. Alors il peut se bouger souvent, et avec des charges !

Quand et comment je réalise le FMS

J'ai appelé mon site et ma pratique de coaching Strong Mobility.

Je suis persuadé que la force est la qualité physique maîtresse.

Je pense aussi qu'être fort mais très peu mobile, c'est gâcher sa force.

Dans bien des cas, cela conduit à des blessures. Il faut être capable de réaliser correctement un mouvement avant de le charger !

Connaître la base et l'évolution

Je réalise ainsi une observation FMS à chaque fois que je démarre un coaching avec un nouvel élève, car cela nous permet d'avoir une base claire et documentée.

Par la suite, nous réalisons tout ou partie du FMS, en fonction des besoins. Cela reste flexible et personnalisé.

L'observation dure environ 10 minutes.

Pas plus.

Elle ne demande aucune connaissance ou capabilité de la part de l'élève observé. Le bénéfice, comparé aux difficultés, est simplement trop grand pour ne pas être considéré.

Le programme correctif est appliqué tant qu'il est nécessaire. Mais pas au-delà. En plus de cela, comme tout le monde n'a pas besoin de tout corriger, il est tout à fait possible d'avoir quelques exercices correctifs pour certains modèles de mouvements, tout en commençant un entraînement de performance pour d'autres.

Le test FMS est un formidable outil dans la caisse à outil du coach. Il est simple et efficace.

Cela ne reste qu'un point de départ. Il faut l'utiliser, mais ne pas en rester là.

En présentiel et en ligne

La crise sanitaire de 2020 a rendu nécessaire de réfléchir aux observations en ligne.

Avant même la crise, j'avais réalisé quelques observation en ligne. Avec a crise, beaucoup de mes élèves sont devenus familier avec ce type de coaching.

Ainsi, je réalise les tests avec le kit FMS, en présentiel, quand je suis en face-à-face, présentiel, avec un élève.

Mais après de nombreuses sessions, je peux vous assurer que le test en ligne est tout aussi efficace !

Il demande juste d'être un minimum préparé, d'un point de vue logistique, par l'élève.

De façon structurée et rapide

En présentiel, la procédure est facile et contrôlée par le testeur.

En ligne, pour que cela aille vite et bien, l'élève a besoin de s'assurer au préalable qu'il a un minimum d'équipement, trouvable chez tout le monde, du recul, et un éclairage correct.

Typiquement, deux chaises, une ceinture ou corde et un baton (tel qu'un manche à balai), sont tout ce qui est nécessaire.

Pour simplifier les choses, j'envoie un petit manuel de préparation à tout ceux qui veulent un FMS, afin qu'ils se préparent au mieux à notre session.

Pour en savoir plus

Un peu de lecture, aux origines

Pour en apprendre plus, tu peux consulter directement l'ouvrage de Gray Cook "Movement", sur Amazon France. L'ouvrage rentre en détail dans l'histoire de la création et du développement du FMS, présente les 7 tests originaux et aborde aussi le SFMA.

Ta propre observation FMS et le programme correctif

Souhaites-tu te situer ? Inscris-toi pour une session FMS en ligne et obtiens toi aussi le programme correctif qui te permettra de bien bouger pour pouvoir bouger souvent !

L'observation FMS en ligne
  • Entièrement en ligne ! Pas besoin de se déplacer.
  • Durée : 45 minutes focalisées sur le mouvement fonctionnel.
  • Un pdf explicatif pour être prêt pour le FMS (matériel et logistique)
  • Observation des 7 modèles de mouvements + mobilité des chevilles + 3 tests de clairance.
  • Un rapport pdf avec les résultats et les recommandations.
  • En option : le programme correctif, avec les exercices à suivre, les séries, les répétitions et la charge.

Les étapes à suivre

1
Réserve le créneau

Choisis le créneau qui te convent dans le calendrier ci-dessous. Réponds aux questions et indique tes coordonnées.
Tu seras ensuite redirigé vers une page pour le paiement.
Un email de confirmation de réservation te sera envoyé.

2
Valide ton règlement

Choisis ton option : observation FMS avec rapport, qui te permettra d'identifier les priorités sur lesquelles travailler, ou observation FMS avec rapport pdf et programme correctif personnalisé.
Après vérification, je t'enverrai la confirmation de ton créneau.

3
Prépare ta session

Avant la session, tu auras accès à un document au format pdf téléchargeable qui te donne toutes les explications pour que tu sois prêt le jour de notre session.

Et pour les entraîneurs ?

Tu es coach, et tu aimerais rajouter le FMS à ta palette d'outils pour accompagner tes élèves, rapidement ?

Alors inscris-toi à la certification en ligne. Tu auras le pdf, les vidéos explicatives, et un test (QCM, en mode livre ouvert) à la fin pour valider ta compétence (clique sur l'image).

FMS Level 1 Online Course with Text
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About the author 

jef

Jean-François "jef" Lopez accompagne depuis 2016 des cadres et dirigeants occupés sur le chemin de la forme durable.
Ancien sportif autour de la vingtaine, devenu gros, faible et complètement hors de forme autour de la trentaine, Jean-François a décidé de réagir et de retrouver la forme.
Lors de cette quête, il a été amené à changer son approche de la remise en forme.
De nombreuses rencontres avec les meilleurs instructeurs de la planète, dont Pavel Tsatsouline, l'ont en effet convaincu que le paradigme de la souffrance et de l'effort démesuré n'était pas le plus adapté pour durer. C'est comme cela qu'est né le concept de "forme durable".
En plus de son expérience personnelle, Il se forme continuellement, et est ainsi devenu instructeur certifié StrongFirst Elite (SFG2, SFB, SFL), spécialiste du mouvement fonctionnel et de la souplesse (FMS2, FCS, YBT, Flexible steel niveau 2), expert en respiration (instructeur avancé Oxygen advantage, praticien Buteyko) et coach en nutrition (PN).
Il est également détenteur d'une certification d'entraîneur personnel (ACE-PT, accrédité par la NCCA) et inscrit au registre européen des professionnels du sport EREPS.

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